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Frédéric Gonseth Productions


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Robin des Voix

Dans la petite maison aux volets bleus, à Moudon, en Suisse, la mère de Robin DE Haas raconte que pour couvrir les cris inces- sants de son bébé, elle le massait à la mode in- dienne « Shantala » de l’époque et se passait en boucle la chanson de Juliette Gréco « Mon fils, chante ! » …Prémonition ? Message su- bliminal ? En tout cas, aujourd’hui, Robin s'émeut: « En fait, elle me disait à sa manière, ok tu es né avec un problème, eh bien fais-en quelque chose mon garçon… » Mission ac- complie : parfois la vie s’arrange sans consulter personne.

Nous suivons donc l’histoire de Robin qui naît dans un petit village de la Broye vaudoise avec une bouche dépourvue de palais. N’ayant plus la motivation ni la force d’endurer les moqueries, les humiliations, les coups, l’extrême violence au quotidien que les autres enfants lui font subir à cause de son handicap, Robin se rend dans la grange avec l'idée d'en finir. Il n’a pas 8 ans.

Trente ans plus tard, Robin De Haas accède à la reconnaissance pour ses découvertes sur le souffle et la voix. Accessoirement, il est aussi chanteur professionnel... Ecartelé entre la Suisse, les Etats-Unis, l’Angleterre, il est dé- passé par l’afflux de demandes. Il décide de former des professionnels qui, à leur tour, seront aptes à transmettre cette méthode naturelle, novatrice, non-violente, en phase avec les philosophies actuelles du mieux vivre...

Un film documentaire de Frédéric Gonseth et Catherine Azad, écrit par Frédéric Gonseth et Catherine Azad

Embarquons dans le sillage d’un viking vaudois. Bertil Galland nous conduit en quelques-uns des points chauds de son existence. Que va-t-on trouver en ces lieux, quels personnages remuants, quels récits de voyages audacieux, quels projets démentiels, quelles amitiés, trahisons, désillusions… ?

Ce « poète vagabond » comme Bertil Galland se décrit lui-même, a toujours été passionnément attiré par la littérature, en découvreur et éditeur acharné de talents comme Maurice Chappaz, Corinna Bille, Ella Maillart, Nicolas Bouvier, Jacques Chessex... Pionnier dans beaucoup de domaines, il nous aiguise le piedmarin si on le suit. On le découvre en constructeur acharné d’encyclopédies qui ont forgé l’identité vaudoise puis romande. En reporter courageux et clairvoyant dans les guerres d’Asie du Sud-Est et d’Afrique, dans la Chine de Mao, dans les Etats-Unis d’avant Kennedy.

On s’attache à cet homme sincère, brillant, épris de liberté qui a été l’artisan de sa vie d’une manière originale, plaçant la barre très haut et animé par «une folle ambition discrète» comme il le dit de son ami Nicolas Bouvier.

La Saga Bertil Galland

Un film documentaire de Frédéric Gonseth, écrit par Frédéric Gonseth et Catherine Azad

SORTIE
1er septembre 2021

SORTIE en salle le 9 février 2022

Le soldat disparu (ex Le Code de la Guerre)

Un film documentaire de Frédéric Gonseth et Catherine Azad, écrit par Frédéric Gonseth et Catherine Azad

Le fils de la voisine d’une amie que nous visitons depuis trente ans dans son village perdu au fond de l’Ukraine a disparu au cours de la bataille de Marioupol. Nous voulons retrouver sa trace. Son unité, affamée et désarmée, s’est rendue en bloc. Nous nous adressons au CICR, mais il n’a pas accès à tous les prisonniers détenus par la Russie, peut-être parce que la Russie considère que la Suisse a cessé d’être neutre.

Nous rentrons d’Ukraine où nous avons passé début octobre trois semaines de pré-tournages qui nous ont emmené près des fronts et se sont terminés sous les bombardements des grandes villes. Nous comptons y retourner en fin d’automne ou cet hiver, de même que nous prenons nos dispositions pour accéder du côté russe, car nous tenons à une démarche impartiale.

Dans la guerre russo-ukrainienne, l’action humanitaire menée par le CICR passe largement sous les radars médiatiques. Faut-il l’attribuer à la nécessaire confidentialité de son action auprès des camps ennemis ou à une défaillance de l’institution ? Ou bien est-ce l’idée même de vouloir « humaniser » la guerre qui a fait son temps ?

Notre film ne doit pas ajouter des images à des images existantes en abondance sur cette guerre. Sa fonction est d’examiner la guerre sous l’angle humanitaire, de parler de la guerre sous cet angle particulier qui est devenu lui-même un enjeu de plus en plus important dans la guerre de l’image et des médias, car il conditionne les alliances, les sanctions, qui ont en retour un effet sur l’économie et les capacités militaires des pays en guerre.

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